2040. Au Japon, l'accident tant redouté a eu lieu : le blackout a été aussitôt décrété ; il est impossible d'obtenir la moindre information. Vols, échanges commerciaux, tout a été annulé ; aucun Japonais ne peut quitter le pays. "Ce n'est plus qu'une énième récession qui nous attend, commente un écologiste japonais, c'est la faillite du pays et la mort." Ce passage, comme l'essentiel du roman, Frédéric Gobert l'a écrit avant Fukushima.